Palmarès cinéma 2025

En 2025, la fréquentation des salles se serait cassée la gueule, Cardinale et Redford ont quitté le building (et Bardot avec), le nombre de femmes réalisatrices en France reculerait singulièrement et la Cinémathèque a été provisoirement fermée pour cause de puces de lit.

De ce côté-ci du clavier, on s’acharne, on y croit encore, et même on ne saurait pas très bien comment s’en passer.

À la clôture de l’exercice cela nous donne, sauf erreurs et après recoupements, quelque chose comme cinquante-sept films vus en salle, dont trois films dits de patrimoine, deux séances italiennes et cinq documentaires (tout le reste n’étant que fictions).

Tout autant de chroniques et à la fin, en extraire arbitrairement une dizaine, le dernier jour de l’année.

On nous permettra de se refuser à un ordre quelconque, ils sont classés là selon une numérotation tout à fait hasardeuse, on parle d’amour, pas de numéros :

« Vermiglio » de Maura Delpero
« Nouvelle Vague » de Richard Linklater
« L’inconnu de la Grande Arche » de Stéphane Demoustier
« Left-handed Girl » de Shi-Ching Tsou
« A Real Pain » de Jesse Eisenberg
« Le Mohican » de Frédéric Farrucci
« Vie Privée » de Rebecca Zlotowski
« Dossier 137 » de Dominik Moll
« L’accident de Piano » de Quentin Dupieux
« Nino » de Pauline Loques

Si vous revenez demain, on parlera d’autres films, passés ou à venir, le cinéma est un art jeune mais mélancolique.

P.S. Documentaires :

« Pompei, sotto le nuvole  » de Francesco Rosi
« Personne n’y comprend rien » de Yannick Kergoat

Sébastien Bourdon