J’ai découvert Rush en 1987 avec la sortie de « Hold your Fire », l’un des disques de la période synthé/synthé encore synthé de ce merveilleux groupe.
Des heures de devoirs pendant la nuit m’ont permis d’apprécier la qualité des titres figurant sur le disque et j’ai même réussi à faire partager mon engouement à mon cousin Eric. Mais je précise qu’il s’agissait là d’un engouement mesuré puisqu’à l’époque je ne jurais que par les Ramones (sachez qu’il y a des points commune entre ces deux formations).
J’ai (...)
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Articles
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Rush en concert, du rêve à la réalité...
26 mai 2011, par Bertrand P. -
It’s just a matter of time
14 février 2013, par Sébastien BourdonPeut-on imaginer un disque plus adapté à la déprime post-adolescente que « Shame », le premier album de BRAD. Je me souviens encore de son étrange pochette, en 1993, à la FNAC Montparnasse, qui avait attiré mon regard. Une photographie en noir et blanc de personnages affublés de grands masques grossiers, avec au centre un enfant souriant doucement. Le nom du groupe n’y figure pas, seule la mention du titre de l’album, en haut à droite et en violet. Il devait y avoir un sticker « feat. Stone Gossard (...)
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I don’t like to dance
31 janvier 2012, par Sébastien BourdonJ. Edgar Hoover, l’homme qui a inventé et dirigé le FBI pendant 48 ans, rêvait de pouvoir ficher tous les citoyens américains comme les livres d’une bibliothèque et ce afin de pouvoir distinguer les gentils des méchants (les communistes donc). Claude Guéant, sur France Inter il y a quelques jours, disait se réjouir du travail « merveilleux » de la DCRI. Du fichage au conte, il n’y aurait qu’un pas ?
La paranoïa américaine n’est toutefois pas le sujet sur lequel se focalise le plus Eastwood dans son (...) -
L’infiniment grand, l’infiniment petit
27 mars 2012, par Sébastien BourdonLe critique est un spectateur comme les autres, mais qui essaie de décrire le lien personnel qui existe entre lui et un film. J’ai entendu ça l’autre jour, ça m’a bien plu. Ça m’a également rappelé que pour cause de récente augmentation de la population globale à mon domicile, je manquais de temps pour voir des choses culturelles et en parler.
Toutefois, grâce aux vacances scolaires et à mon cinéma de proximité, j’ai quand même réussi à voir avec les enfants un film qui me fascinait depuis longtemps : « (...) -
Le côté sombre du cinéma américain
6 mars 2008, par Sébastien BourdonJe ne sais pas si c’est la perspective d’être de plus en nombreux, de manière exponentielle dans les années à venir, qui pousse les cinéastes américains contemporains à revenir aux grands espaces déserts. En tout cas, il y a comme un retour de flamme et de forme sur ces territoires vierges ou presque.
Après le Sean Penn, nous avons vu hier soir le dernier opus des frères Coen, No Country For Old Men, en attendant le Paul Thomas Anderson (tourné, ça ne s’invente pas, à quelques mètres d’écart).
Parce (...) -
Gojira à l’Elysée-Montmartre
16 février 2009, par Sébastien BourdonLe genre de concert dont je pourrais me dire, j’y étais. Dommage, ils n’avaient pas de tee-shirt à ma taille...
Ce soir, l’Elysée-Montmartre affiche complet pour un genre pas forcément mainstream : le death-metal, français de surcroît.
Le groupe Gojira (Godzilla en japonais - Joseph Duplantier (chant, guitare) Mario Duplantier (batterie) Christian Andreu (guitare) Jean-Michel Labadie (basse)) est originaire - et oui - de Bayonne, et a opté pour un style précis, mais qu’ils ont mâtiné d’inffluences (...) -
Here, there, everywhere
14 septembre 2010, par Sébastien BourdonCe week-end, une festivité amicale m’a envoyé vers une terre inconnue, la côte basque. Au-delà du plaisir de passer du temps avec des gens merveilleux (car oui, j’ai des amis merveilleux), j’ai définitivement acquis la conviction qu’être pieds nus dans le sable le week-end, c’est finalement assez précieux et pas forcément assez fréquent.
Si le ciel semble incertain aux alentours de Biarritz - c’est très vert ce coin, quand on a passé beaucoup d’étés en Normandie, c’est une couleur qui ne trompe pas sur la (...) -
L’appel de la forêt
1er mars 2008, par Sébastien BourdonLorsque je suis sorti de la salle audonienne où venait d’être projeté Into the Wild de Sean Penn, je me suis dit que chaque film de ce cinéaste était beau mais légèrement imparfait, ce reproche diminuant au fur et à mesure du développement de sa cinématographie. Puis, et j’en avais le pressentiment, et c’est monté en moi avec la nuit, jusqu’à m’obséder : impossible de sortir du film.
C’est l’histoire d’un garçon qui, depuis tout petit, aime trop les livres et jouer dehors et qui va, dans un élan d’égoïsme (...) -
Come Together
27 juin 2014, par Sébastien BourdonSelon mon épouse, le pire n’est pas que je l’abandonne avec nos trois descendants pendant près de cinq jours pour le festival, c’est de gérer ma dépression post-Hellfest la semaine qui suit mon retour. Il faut dire que cet « Enfer », c’est vraiment le Paradis (elle était facile, je n’en disconviens pas). Alignement des astres, alors que le Hellfest réalise sans doute la plus belle affiche de son histoire - Iron Maiden, Aerosmith et Black Sabbath en têtes d’affiche, excusez du peu - voilà qu’en plus, (...)
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Debout les damnés de la Terre
23 juin 2009, par Sébastien BourdonSi je vous dis que deux d’entre nous sont dûment allés assister à un festival de musique un tant soit peu bruyante... Vous pensez à qui ? Et bien si vous êtes lecteur assidu, vous aurez bien sûr raison ! Il s’agit de Sébastien et de Val... Voici, selon le premier, ce qu’on a raté au Hellfest.
Il est une heure trente du matin. La fraîcheur nocturne bretonne a depuis longtemps gagné sur le soleil estival de la journée. Au fond, sur la scène richement éclairée, Mötley Crüe nous balance son gros show à (...)