Et nous voilà de retour dans un aéroport. Petit blanc privilégié qui, le pauvre, n’avait pas senti l’odeur du kérosène de longue date, pandémie oblige.
C’est le joli mois de juillet parisien, où la menace pluvieuse s’est faite plus prégnante que celle du coup de soleil. Cette hostilité micro-climatique ne devrait pas empêcher de donner à Roissy à cette époque de l’année comme un immédiat parfum de vacances.
On a pourtant la tenace impression de ce que ce ne serait plus tout à fait comme (…)
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Voyages
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Décollage Imminent
10 juillet 2021, par Sébastien Bourdon -
Le voyage en Italie, acte 5 - Padoue, Bari, Polignano
1er septembre 2019, par Sébastien Bourdon18 août
Padoue est une ville aussi belle qu’agréable et l’acquisition d’un essentiel vélo permet de découvrir à quel point la campagne qui l’entoure est magnifique. Longer la rivière Bacchiglione sur nos destriers à pignons se révélera un véritable enchantement (même s’il eût été prudent de mettre un peu de crème solaire).
Nous aurons toutefois quelques difficultés à nous sustenter, les villages déserts en ce dimanche n’offrant que des rades tenus, oh surprise en Vénétie, par des chinois (…) -
Le Voyage en Italie - actes 3 et 4 (Venise, lac de Garde, Padoue, Caroman, Milan) Mai - juin 2019
25 août 2019, par Sébastien Bourdon11 mai
Venise ne perd jamais complètement son âme. Alors que j’imaginais la Biennale comme quelque chose d’un peu snob, cette invasion frénétique d’art contemporain fait échapper la Sérénissime à son enterrement sous le tourisme décérébré. Le phénomène est d’autant plus intéressant que les expositions se glissent partout et pas seulement au sein de Fondations, certes très belles, mais révélant la présence d’un argent dément (Punta della Dogana).
En sus de découvrir vidéos, sculptures ou (…) -
Quitter les phénomènes - à la mémoire de ShoZa
17 août 2019, par Sébastien BourdonShoZa a surgi dans ma vie il y a une bonne dizaine d’années, comme prescription médicale pour des problèmes récurrents de dos (forcément). Après bien des cours dispensés - par lui, et consentis - par moi, il m’a tiré d’affaire. On n’est jamais sûr de rien ceci dit, car comme il le répétait souvent lui-même : « tout est mujo, impermanent ».
ShoZa était un homme extrêmement discret. Ce n’est que rarement qu’il s’ouvrait de choses personnelles, et par petites touches ponctuelles. Nous (…)